Elyanna Dusbois
La lecture peut nous ouvrir des voies, même celle inémaginable

Dusbois "La dame en Rouge" Elyanna
Origine française de 23 ans.
1m75 pour 65Kg
Noble associée à Phantom
Obéir aux autres de mon pays afin d'y retourner, et si possible sans que ce soit les pieds en avant.
Histoire
Mon histoire commence en France, dans une famille noble, fille de militaires possédant des sigils liés au feu, le miens fut attendu.
Et lorsqu’il est apparu, personne ne put comprendre son utilité première. Car oui, mon sigil faisait apparaître un livre. Il livre qui m’a toujours paru très léger mais pas pour ceux qui ont tenté de le soulever. Il a fallu quelques années, notamment le temps d’apprendre à lire correctement, sous les soupires désastreux de mes parents, maudissant la vie de leur avoir offert une fille qui n’avait pas de réel sigil.
Mais comme je l’ai dis, une fois la compréhension des mots à ma portée, j’ai pu ouvrir ce livre si mystérieux et lire les mots à l’intérieur. Ces mots, alors prononcés devant mes parents, n’avant aucun sens à leurs oreilles et il se mirent à douté de mon livre et de son utilité. Et lorsqu’une chose faite de flamme en sorti, la moitié supérieure d’une femme utilisant des flammes pour former des cornes sur sa tête. L’être me regarda et le sigil mark apparut sur mon bras.
Mes parents me demandèrent de les suivre, avec l’être qui les effrayait et le livre et c’est ce que je fis. On se retrouva sur un terrain d’excercice militaire, et je devais montrer les capacités de ma créature. L’efreet, sans un mot, parti brûler des cibles en paille avec une boule de feu, fit sombrer des pièces de métal sans réussir à les déformer. Mais pour rappel … Je n’étais alors âgée que de sept ans, et le peu de dégâts qu’avait réussi à faire l’être de feu, cela avait suffit à prouver à mes parents que la vie ne les avait pas puni. Juste joué avec leurs nerfs.
Dès que j’ai eu l’âge, j’ai rejoins l’armée, par choix mais surtout par obligation familiale et nationale. J’ai pu découvrir pourquoi mon livre, que je pouvais alors faire apparaître ou disparaître, avait posé problème auprès de mes parents. Nombreux sigils étaient beaucoup plus simple d’utilisations que le miens, donc plus rapide et efficace.
L’entraînement européen nous pousse à bout, nous forçons l’état d’Eveil, afin d’avoir des soldats ayant atteint au minimum le renforcement et au maximum le passif. Dans mon cas, je n’ai débloqué que le Sigil Burst.
Et lors de mes classes, c’est à l’espionnage que l’on m’a affecté, au désarroi de mes parents qui m’auraient plus vu en première ligne. Mais l’utilisation de l’efreet avait posé beaucoup, en plus de mon agilité et de ma corpulence.
Si ma première mission s’est passé sur notre propre territoire, afin de trouver un groupe ennemi caché dans nos campagnes, elle n’est pas réellement intéressante à raconter. Mais les gens ont commencé à m’appeler « La dame en Rouge ».
Et maintenant, ils m’ont affecté à ma deuxième mission, loin de chez moi, sur le territoire ennemi, avec comme but de leur faire perdre de l’influence en aidant une organisation criminelle. En couverture, je suis une noble marchande de tissu.
Descriptions Physiques
Si on m’appelle la « Dame en Rouge », c’est que je vis par cette couleur. Mes cheveux mi-long sont rouges, je porte quasi-systèmatiquement du rouge sur moi, mon pouvoir est très orienté rouge, orangé, tout comme mes yeux.
Je porte souvent des robes longues, rouge bien évidemment, parfois venant d’Asie, appuyant ainsi sur la noblesse de ma posture.
Descriptions mentales
Je peux avoir deux personnalités, l’un étant un masque lié à mon devoir militaire, l’autre étant moi-même.
Tant que je porte le masque, je suis la « Dame en Rouge », noble marchande qui se veut douce, professionnelle, n’hésitant pas à converser, créer des relations et instaurer un sentiment de confiance entre moi et mon interlocuteur.
Et lorsque le masque tombe, ne me parlait pas. Je préfère encore resté dans mon coin, souvent, c’est que j’écris, soit un rapport pour mes supérieurs, soit pour moi, pour me libérer une pensée qui me tarode. Souvent, lorsque le masque est tombé, je n’ai plus la force sociale d’être polie.

Le Sigil
- L’invocation d’Efreet
- Point fort
- Point faible
Je fais apparaître un livre dans ma main, ce livre à l’apparence épais m’est complètement léger, là où les autres arriveront à peine à le soulever.
Lorsque j’ouvre ce tome, le dialecte à l’intérieur me permet d’invoquer Efreet, une créature faite de flamme qui peut incinérer facilement ce qu’elle touche.
Je ne contrôle pas directement Efreet, je lui impose un ordre, elle le fait à sa manière. Je n’ai donc pas à me contrôler pour la diriger.
De plus, elle peut voler et me rapporter des éléments. Par contre, elle ne fait pas de télépathie et je ne vois pas à travers elle, elle doit me rapporter ce qu’elle a vu ou entendu.
L’Efreet ne peut pas traverser l’eau, ni aller trop loin du livre, que je dois toujours avoir dans le champ de vision.
Si l’être devait être frappé, elle ne ressentira pas de douleur, mais j’en ressentirais le double.
Stade du Sigil : Stade 2
L'Efreet crée une explosion tout autour d'elle, brûlant tout dans sa portée.
Mon corps chauffe constamment, devant comme un radiateur sur patte.
Les gens pris dans mon aura, se sentent minuscule, et sont posés sur mon livre qui leur parait alors gigantesque. S'ils font du surplace, ils sentiront alors comme des flammes les mordiller au niveau des pieds.